Elle vous dirait qu’elle est tombée dans la marmite étant petite : pour Carine, l’imprimerie est une histoire de famille, une voie qui a toujours coulé de source. C’est son père, créateur de la première imprimerie à Bresson en 1975, puis dirigeant de l’imprimerie Poncet à Comboire, qui lui a en a transmis le gène, et c’est à ses côtés qu’elle a découvert les dessous du papier. Venue lui donner un coup de main dans les années 80, Carine s’est finalement prise de passion pour un métier en constante évolution. Certes, elle n’est pas Gutenberg, mais elle aura connu un certain nombre de premières : l’offset, le numérique, la sérigraphie…
Autant de techniques dont elle a fait un art, guidée par une seule conviction : fabriquer une empreinte durable.
« 10 000 flyers 21 x 29,7 ? OK, je note. Merci, au revoir. » Voici ce que vous n’entendrez jamais ici. Une impression réussie, c’est une impression ciblée ; et pour viser l’objectif, il faut discuter.
« Comment faire bonne impression ? » Pas d’inquiétude, chez Priint, on a le nécessaire : la boussole, le couteau suisse… même le tire-bouchon ! Tout ce qu’il faut pour vous accompagner et imaginer ensemble une solution sur mesure.
« J’arrive ! » On vous l’a dit, il y a toujours une solution. Et il y aura toujours quelqu’un au bout du fil. Toujours.
Alors que les ordinateurs, smartphones, tablettes et autres ebooks fleurissent dans nos maisons, alors que leurs longues tiges noires ou blanches prennent racine dans nos murs, nous sommes encore nombreux à préférer les feuilles colorées d’un ouvrage papier aux pages volatiles d’un écran tactile. Le print ne serait-il finalement pas si démodé ? Pourquoi ne faut-il pas le négliger ?
L’internaute butine sur le Web, il explore la toile, papillonne d’une fenêtre à l’autre, s’éparpille et se disperse… Une pop-up, une publicité, un lien, une vidéo. Quel était le contenu initialement recherché, déjà ? Englué dans la jungle inhospitalière d’Internet, il s’est perdu. C’est que la forêt numérique est dense. Entre les parasites sonores et lumineux souvent agressifs et le dédale foisonnant de contenus sans rapport avec l’information recherchée, il est difficile de se frayer un chemin sans voir son attention détournée.
À l’inverse, lorsque le message est couché sur le papier, il s’imprime dans l’esprit du lecteur, lequel se montre généralement plus réceptif à la sobriété qu’à l’infobésité.
Un message mieux assimilé
Le format papier offre un temps de répit à notre aventurier digitalisé. Là où celui-ci survole en à peine deux minutes un mail ou un article en ligne, il en consacre une trentaine à lire un magazine, dont il assimile d’ailleurs mieux le contenu. Les études le prouvent : 74 % des Français estiment mieux comprendre et mieux retenir l’information imprimée que celle dématérialisée [1]. Et là où l’email publicitaire a toutes les chances de finir dans la corbeille sans même avoir été ouvert, la brochure ou la carte s’invite au contraire dans le quotidien. Accrochée sur les portes du frigo, punaisée sur un pan de mur, introduite dans le sac, elle finit ancrée… dans la mémoire !
Un support personnalisé, un destinataire concerné
Pour une large majorité de la population, le papier incite davantage à la confiance que le numérique. Pourquoi ? Parce que la matière donne au message une tout autre puissance.
Eh oui, s’il y a bien un domaine dans lequel la communication digitale ne peut rivaliser, c’est celui de la sensibilité. Votre slogan aura beau être percutant, l’écran n’a ni odeur ni texture ; le papier, si. Il répand des notes naturelles de vanille ou d’amande, fleure le parfum dont vous l’imprégnerez ; il peut être lisse ou granuleux, cartonné ou gaufré, souple ou rigide, glacé ou satiné. Bref, le papier a du caractère ! Il engage la sensibilité : un toucher velours ne révélera pas la même chose de vous qu’un aspect rugueux. Et grâce à cet atout, il instaure un rapport d’intimité avec un destinataire à la fois rassuré et d’emblée plus concerné.
Un support palpable pour un message durable, c’est tout l’enjeu de la communication Priint. Et pour que votre empreinte persiste tout en étant renouvelable, notre encre se met au vert. Le but : produire un impact sans laisser de traces.
C’est ça, l’impression éco-responsable.
Qui a dit que le papier était poussiéreux ? Il souffre d’une image parfois vieillie, voire ternie, alors même qu’un imprimeur-conseil sait en révéler le plein potentiel. La communication Priint est une affaire de transmission, une histoire d’édition au service de l’émotion. Contre le tout numérique qui nous connecte les uns aux autres en nous tenant à distance, créons avec le papier une relation plus intimiste, révélons votre marque ou votre personnalité à travers la matière.
Ensemble, donnons un autre tempo à l’info, faisons-là exister et surtout perdurer dans la mémoire de votre destinataire.
Ensemble, fabriquons une empreinte durable !
[1] Voir l’étude Two Sides réalisée en 2017.
Dans la panoplie d’outils dont on dispose chez Priint, notre instrument favori, c’est… la boussole ! Elle nous sert à vous guider, elle nous sert aussi à vous orienter vers ceux qui pourraient vous accompagner dans les étapes en amont de l’impression.